Un hommage à André Dédé Fortin, le chanteur du groupe Les Colocs, en forme de musicographie. De Jean-Philippe Duval.
Qualifié de "meilleur film québécois depuis C.R.A.Z.Y", ce film grande-claque-dans-la-figure nous montre un personnage simple, mais bouffé par ses contradictions. Un grand choc, porté par l'harmonica de Patrick Esposito et bien sûr, les tounes célèbres des Colocs.
Je regrette juste la délicatesse de bulldozer teuton du réalisateur sur un point de détail. André Fortin s'est suicidé en se plantant un couteau dans le coeur (charmant, me direz-vous). L'occasion rêvée pour Duval de multiplier les références au hara-kiri, comme autant de signes avant-coureurs du geste de Fortin. C'est tout sauf subtil, et ca n'apporte rien au débat. Enfin, ce que j'en dis hein...
Qualifié de "meilleur film québécois depuis C.R.A.Z.Y", ce film grande-claque-dans-la-figure nous montre un personnage simple, mais bouffé par ses contradictions. Un grand choc, porté par l'harmonica de Patrick Esposito et bien sûr, les tounes célèbres des Colocs.
Je regrette juste la délicatesse de bulldozer teuton du réalisateur sur un point de détail. André Fortin s'est suicidé en se plantant un couteau dans le coeur (charmant, me direz-vous). L'occasion rêvée pour Duval de multiplier les références au hara-kiri, comme autant de signes avant-coureurs du geste de Fortin. C'est tout sauf subtil, et ca n'apporte rien au débat. Enfin, ce que j'en dis hein...
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