mercredi 19 mars 2008

On s'amuse comme on peut.

Je ne m'en lasse pas ! Mais le plus merveilleux dans cet hiver hallucinant, c'est que les gens s'aident mutuellement pour déneiger les autos, dégager les bancs de neige et tout remettre à peu près en ordre. Les lendemains de tempête, la ville a l'air de sortir de l'Apocalypse, sans voiture qui puisse circuler, sans rien qui dépasse de la couche de neige et tous les bruits étouffés ; et tout le monde grouille dans les rues, sur la chaussées, les escaliers, les trottoirs avec des pelles, des thermos de café, des luges et des balais. On se débrouille comme on peut pour pouvoir reprendre possession de l'environnement, et on partage les lumbagos de tout le quartier pour une semaine.




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